L’information vient d’un article publié par le journal électronique Asia Times, écrit par un ancien responsable de la communication de la Chambre des représentants et du Sénat des États-Unis, et fondateur de Capitol Intelligence.
Selon lui, après la désignation par Obama de la Tunisie comme allié majeur non membre de l’OTAN en 2015, et son affirmation de l’importance stratégique de la Tunisie, en plus du projet “Belt and Road Initiative”, qui a permis à la Chine d’étendre son pouvoir exportateur jusqu’en Grèce et Djibouti, l’exploitation du port tunisien est alors devenue une priorité économique pour les investisseurs étrangers.
Asia Times explique le lien que constitue le fameux port entre d’une part, le Moyen-Orient et l’Asie, et d’autre part l’Europe et les États-Unis. |